Le Yémen est confronté à de graves pénuries d'eau et dépend de la collecte des eaux souterraines et de l'eau de pluie. Le pays n'a pas de rivières pérennes tout au long de l'année mais des cours d'eau saisonniers peuvent couler après de fortes pluies.
Le petit Etat papal n'a pas de source d'eau sur ses 0,49 kilomètres carrés et doit s'alimenter auprès du réseau d'eau de la ville de Rome.
Les wadis, aussi appelés "oueds", sont vitaux pour alimenter Abu Dhabi ou Dubaï. Le reste de l'année, le pays dépend du dessalement, des eaux souterraines ou de réservoirs d'eaux.
Sans rivière ni fleuve, ce pays saharien a dû développer un réseau souterrain pour pomper l'eau depuis des zones aquifères très profondes.
Comme ses voisins du golfe arabique, Oman n'a pas de rivières permanentes, uniquement des "oueds" saisonniers. Le pays dépend donc des eaux souterraines et de l’eau de mer dessalée.
Doha, la capitale du Qatar, doit trouver de l'eau très en profondeur ou via le déssalement d'eau de mer.
Les Maldives, archipel d'îles coralliennes, n'ont pas de rivières. L'eau de pluie, les puits, et le déssalement pourvoient aux besoins de la population et des nombreux touristes.
Sans rivière ni fleuve, le Koweit a développé un réseau de dessalement d'eau de mer et de collecte des eaux de pluie pour alimenter sa population en eau.
Le Bahrein a largement investi dans le dessalement d'eau de mer face à la croissance de ses villes.
Le plus vaste pays de la péninsule arabique a dû s'adapter. Ses vastes déserts ne comportent pas de source d'eau, à moins de puiser très en profondeur. Les usines de dessalement sont donc nombreuses.